CHRONIQUE 1966- 1972

 

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AGENDA DES CONCERTS

Agenda des concerts rock en Belgique - Année 1968

Agenda des concerts rock en Belgique - Année 1969

 

Agenda des concerts rock en Belgique - Année 1970

 

Agenda des concerts rock en Belgique - Année 1971

 

Agenda des concerts rock

en Belgique - Année 1972

 

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Agenda des concerts rock/pop au Théâtre 140 de 1965 à 1972

 

FESTIVALS POP

Pop-Event à Deurne Arena 21 juin 1969

Festival Jazz Bilzen 1966

Festival Jazz Bilzen 1967

Festival Jazz Bilzen 1968

 

Festival Jazz Bilzen 1969

 

Festival Jazz Bilzen 1970

 

Festival Jazz Bilzen 1971

 

Festival Jazz Bilzen 1972

 

 

Festival de Châtelet 1966

 

Festival de Châtelet 1967

 

Festival de Châtelet 1968

 

Festival de Woodstock 1969

Free Show Wolu Shopping Center - juin 1971

Free Show Wolu Shopping Center - octobre1971

 

Festival Actuel -Amougies

- Mont de l'Enclus 1969

 

Pop Hot Show 1 du 6 novembre 1969- Salle de la Madeleine

 

Pop Hot Show 2 du 20 décembre 1969 -Salle Newton

 

Pop Hot Show 3 du 7 mai 1970 -Moustier sur Sambre

 

Pop Hot Show 4 des 17 -18 mai 1970- Trazegnies

 

Pop Hot Show 5 du 5 septembre 1970 - Huy-Andenne

 

Cocoripop Charleroi 1971

 

Pop Circus 30 avril 1972 à Liège

 

Festival Guitare d'Or Ciney 1966 -1968

 

Festival Guitare d'Or

Ciney 1969 -1971

Rac Pop Festival 69

 

Le parapluie des vedettes Huy 1966 - 1968

 

Island Show - Londerzeel octobre 69

 

Festival Ile de Wight

août 1970

 

Festivals à Jemelle 1969-1973)

 

Wolu City 1966

 

Wolu City 1967

 

Wolu City 1968

 

Festival France

Seloncourt 18 et 19/9/1971- Pete Brown

 

GROUPES ÉTRANGERS

 

Atomic Rooster en Belgique 1972

 

Cliff Richard - Marvin, Welch, Farrar -Olivia Newton-John -Anvers 1971

 

Doors en Belgique 1972

 

Everly Brothers Roma 1972

 

Fleetwood Mac en Belgique 1970

 

Golden Earring en Belgique 1971-1973

 

Genesis en Belgique 1971-72

 

Hollies et Move à Gand au Sportpaleis en 1969

 

Jethro Tull - Belgique 1972

 

Jimi Hendrix en Belgique 1967

 

Kinks en Belgique 1966

 

Led Zeppelin en Belgique mai 1972

 

Mike Stuart Span 1968

 

Pink Floyd Belgique - Théâtre 140

 

Rolling Stones Bruxelles 1966

 

Spencer Davis Group en Belgique

 

Shake Spears : chapit 1 - Période 1965-66

 

Shake Spears : chapit 2 - Période 1967

 

Shakespeares : chapit

3 - Période 1968

 

Shakespeares : chapit 4 - Période 1969

 

Shakespeares : chapit 5 - 1969 - La dérive espagnole.

 

Sweet en Belgique 1971-72

 

Tremeloes - Festival Ciney 1971

 

Who en Belgique 1967

Wings-Roma 1972

PHOTOS

 

Photos de rockstars 1966-1969 Belgium - Holland-England

 

Rockstars 1970-1972 in Belgium-Holland-England

 

Théâtre 140 - 36 Hr underground -Yes -Ten Years After - Nice

 

DISCOTHÈQUE

AVIS CRITIQUES

 

Albums 1971

(sept-déc)

 

DANCINGS

 

Dancings sur la côte belge - années '60

 

Wallace Collection 1968 Répétitions aux Gémeaux

 

Dancing Le Grenier Antre du rock

 

Cheetah Club, temple du rock

 

Discothèque Les Gémeaux

 

Club Dancing Le Puzzle

 

Ferme V. Story - 1965-1974

 

Le Pop and Soul

 

SALLE DE SPECTACLE

 

Palais des Beaux-Arts s'ouvre au rock - 1970

 

MEDIA

 

British Week à Bruxelles - 1967.

 

Summer of love et Flower Power vus par le magazine Juke Box (1967)

 

Culture Pop : Mersey Beat Années Hippies Flower Power - Psychedelisme.

Swinging London ''60

 

Show-Biz en Belgique dans les années 60

 

Pop Shop - Émission rock RTB - 1970-1973

 

Filles des années 60 - Models sixties

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ROCK / ALBUM SOUVENIRS

LES KINKS EN BELGIQUE

SALLE REGINA LE SAMEDI 19 MARS 1966

 

 

Les Kinks débarquèrent pour la première fois en Belgique le jeudi 16 mars 1966 pour une tournée de trois jours qui débuta à Verviers, salle Coliseum. Le samedi 19 mars, ils assurent un double concert à Bruxelles. Piero Kenroll, le fondateur du Club des Aigles et plus tard, le responsable de la rubrique pop-rock dans le magazine Télé Moustique relate l'évènement auquel il participa en tant qu'organisateur.

 

 

Kinks Salle Regina

Salle Régina à Bruxelles, les Kinks - 19 mars 1966 - La scène est décorée d'un drapeau anglais et

d'un grand signe des Aigles bricolé en polystyrène par Piero. (collection Piero)

 

 

 

A cette époque, les Kinks font figure de pionniers. Ils font partie des groupes mods british des années 60 comme les Who, les Yardbirds ou les Small Faces. Leur point commun : leur admiration pour le rock'n roll venu des States et plus précisément pour Chuck Berry et Little Richard. Leur premier titre s'intitule Long tall Sally, une reprise du célèbre morceau de Little Richard.

 

En 1964, ils composent le célèbre You Really Got Me qui plafonnera longtemps dans les charts. En 1966, ils sortent Face to Face. L'album constitue le début de l'âge d'or du groupe. On y trouve Dandy, Sunny Afternoon, I'm Not Like Everybody Else, Dead End Street.

 

 

 

 

PIERO RACONTE ....

 

Piero Kenroll

Nous avons été contactés par un certain Jean Van Loo, directeur du Twenty Club à Mouscron et manager des Sunlights, le groupe qui a accompagné Gene Vincent à l'Ancienne Belgique. Van Loo et son associé Rikki Stein s'occupent aussi de placer des groupes à gauche et à droite et ils sont sur un gros coup : ils vont faire venir les Kinks en Belgique.

 

 

D'après Van Loo, nous, les Aigles, sommes les seuls capables d'organiser leur passage à Bruxelles. Nous avons donc une entrevue préparatoire dans un café discret pour discuter de la chose.

 

Ça ne va pas être facile. Les Kinks font partie d'une tournée qui comprend d'autres groupes et chanteurs moins connus. Nous, nous voudrions que les formations habituées du club aient aussi l'honneur de figurer au programme. Il y a des questions d'assurance, de droits d'auteur et surtout de salle.

 

Car il n'est pas question de faire tenir tout ce monde aux Carabins. Ni la scène, ni la salle ne sont assez grandes. Ça discutaille ferme, mais finalement on se met d'accord : il y aura une matinée et une soirée. Le double passage de la tournée des Kinks nous coûtera septante mille francs. Reste à trouver une salle... Plic Plic n°4, qui paraît en février, annonce l'événement prévu pour le 19 mars.

La tuile ! Nous nous plaignions du manque de passage de groupes importants par la Belgique...

 

Maintenant, il y en a trop ! Nous venons d'apprendre que les Rolling Stones se produiront au Palais des Sports de Schaerbeek, le 27 mars. Aïe ! Cette date est trop proche de celle de nos Kinks. Et comme les Stones sont les plus célèbres, ceux qui n'ont pas beaucoup d'argent opteront fatalement pour eux.

 

 

 

 

Je ne considère donc pas l'endroit comme sympa, mais nous n'avons pas beaucoup le choix. J'obtiens que tous ces interdits soient levés durant nos spectacles. Le propriétaire exige seulement que son «service d'ordre» soit présent. Pour faire bonne mesure, nous aurons le nôtre aussi, composé de nos costauds les plus dévoués.

 

 

L'AVANT - PROGRAMME

 

 

Aux dernières nouvelles, les Kinks seront précédés des Sunlights qui continuent d'être d'excellents rockers et enregistrent maintenant en Angleterre, de Carol Friday, une chanteuse plutôt pop, de Chris Sandford , un disc-jockey chantant, et du John's Four, un chanteur pianiste et son groupe. A cela s'ajouteront «nos groupes à nous» :

 

 

les King's Five , les Shamrocks, les King Bees et Stroff alias Denny Vinson. Le prix d'entrée sera peut-être un peu élevé, cent francs (deux euros cinquante), mais c'est un beau programme. Nous espérons qu'en mettant les places en vente à l'avance, nous offrirons plus d'occasions d'acheter un billet à ceux dont le budget est serré.

 

 

 

Kinks Bruxelles 1966

ON EN PARLE ...

 

L'événement fait du bruit. Il est annoncé dans Belgique N°1 et, pour l'occasion, Zorbec et moi sommes interviewés par une équipe de l'émission Jeunesse 66.

 

Nous ne cachons pas tout le mal que nous pensons de leur programmation, mais, fair-play, ils nous laissent prêcher pour le rock. Hors antenne, ils nous confient même ne pas avoir réalisé l'importance que cela avait.

 

Et moi qui croyais que pour travailler à la radio, il fallait être avant tout super calé en ce qui concerne l'actualité musicale ! Mais non : ils ne font même pas de complexe de leur ignorance, ces soi-disant pros.

 

LE JOUR J

Stroff Salle Regina

 

 

Le grand jour est arrivé. Il est 15 heures et les spectateurs se ruent joyeusement à l'intérieur du Régina. J'ai moi-même décoré la scène d'un drapeau anglais et d'un grand signe des Aigles que j'ai bricolé en polystyrène.

 

Les King's Five commencent déjà alors que tout le monde n'est pas encore entré, car il ne faut pas traîner. Comme de tradition, les premiers groupes Shamrocks, King Bees, etc... ne jouent que deux ou trois morceaux. Mais le programme est chargé.

 

Pendant que les musiciens branchent leurs instruments, j'en profite pour faire un peu de baratin pour le club à l'intention des non-membres présents dans le public.

 

Ces trois petites Américaines, assez bruyantes au premier rang, par exemple. Je conclus par un retentissant Read' ? Stead ? et la majorité des spectateurs ayant répondu Go Man Go!, on y va !

 

 

 

C'est Stroff qui est le premier à secouer vraiment la salle. Il est déchaîné.

 

Pendant qu'il interprète Be Bop A Lula, une poignée d'habitués lui saute dessus. On dirait une mêlée de rugby ! Le chanteur est tel le ballon et disparaît complètement sous un amoncellement de corps chevelus.

 

Hop ! Le voilà soudain qui jaillit de cette masse humaine comme une balle de ping-pong sur un jet d'eau. Il continue à chanter avec une passion douloureuse du plus bel effet. Il ne touche plus le sol avant la fin de sa prestation.

 

Après ça, seul Chris Sandford fait bonne mesure. Ni le John's Four, ni Carol Friday ne sont particulièrement mémorables. Heureusement, ils sont brefs. Mais pas besoin pour les Sunlights de réchauffer le public, car l'imminence de l'arrivée des Kinks a déjà porté celui-ci à ébullition.

 

Attention, les voilà !

 

Lire la bio de Denny Vinson alias Stroff

 

 

 

KINKS ON SHOW

Kinks rock années 60

The Kinks - Salle Régina - 19 mars 66 (collection Piero)

 

 

Ils sont vêtus très mods : pantalons taille basse, pulls blancs à col rond et grosses lignes verticales colorées. Au premier rang, les petites Américaines deviennent folles. Fascinée par Dave Davies, il y en a une qui hurle « Aaaaaargh ! I want to touch him !» et manque de tourner de l'œil. L'instant d'après, elle est projetée contre la scène par la masse de la plus grande partie du public qui s'est portée, comme un seul homme, en avant.

 

Pas de raison de s'affoler. On voit cela souvent au local du club lorsqu'un groupe a vraiment du succès. Je sais, qu'en général, les spectateurs s'arrêtent au pied du podium. Ils savent que s'ils montent dessus, le groupe aura des difficultés à continuer de jouer. Or, ils aiment les showmen et les Kinks sont remuants.

 

Malheureusement, le service d'ordre du Régina, lui, n'a pas du tout notre habitude des publics en délire. Ses membres se précipitent donc pour repousser les enthousiastes. De quoi ils se mêlent, ces ploucs ?

 

Vont me saboter l'ambiance. Vite, je mobilise notre «service d'ordre» à nous.

 

— Faut laisser les spectateurs s'amuser. Faites-moi déguerpir ces gars du Régina !

 

C'est dans ce genre de situation qu'on mesure tout le piquant du mot «ordre» ! La mêlée au pied de la scène devient indescriptible.

 

Mais les Kinks ne s'en formalisent pas. Ils doivent avoir l'habitude. Ça ne se calmera qu'à la fin de leur prestation. Est-il besoin d'ajouter qu'ils connaissent un triomphe ? Quelle fantastique après-midi ! Du coup, nombreux sont ceux qui décident de rester pour la soirée où l'on remet ça, avec encore plus de monde.

 

 

Kinks Regina 1966

The Kinks - Salle Régina - 19 mars 66 (collection Piero)

 

Kinks Bruxelles Regina

The Kinks - Salle Régina - 19 mars 66 (collection Piero)

 

 

Lorsque tout est fini, la salle du Régina ressemble un peu aux décombres laissés par un tremble­ ment de terre. Heureusement, c'est plus du désordre que de la casse et on ne déplore ni mort ni blessé... à part Stroff qui a mal au mollet.

 

Quelques attardés assiègent la porte des coulisses dans l'espoir d'autographes ou de poignées de mains. Parmi eux, les petites Américaines, toujours pas calmées, qui vont jusqu'à essayer de m'arracher ma veste, sous prétexte que j'ai approché les Kinks. Il y en a, j'vous jure ! Bon. C'est pas tout ça. Je constate avec plaisir que nos membres actifs sont en train de s'activer. Ils redressent les chaises, essuient les flaques de boissons répandues, décrochent le drapeau anglais et l'insigne des Aigles qui décoraient la scène...

 

Plutôt stressé par la tension nerveuse de la journée, je me détends en leur donnant un coup de main. C'est comme cela que, soudain, sur une chaise... Mais c'est la caisse !

 

Oui, la boîte-coffre métallique verte qui contient la recette de toute la journée. L'argent que nous devons encore à Van Loo. Elle est là, toute seule, abandonnée. Zorbec devait pourtant s'en occuper. Où est-il ? Mort ? Enlevé ? Personne à proximité.

 

Je ramasse la boîte sans effort : elle n'est ni grande, ni lourde. Elle doit surtout contenir des billets. C'est pas croyable : personne ne semble y faire attention. N'importe qui aurait pu la trouver avant moi et s'en aller avec elle sous le bras.

 

Enfin, j'aperçois Zorbec qui sort des coulisses. Je dissimule la boîte derrière mon dos....

 

Piero et Zorbec

Piero et Zorbec

 

Eh bien, ? Où tu étais ?

– Ben, j'ai été chercher un autographe.

– Et la caisse, hein ? Tu t'en occupes ?

– Ouais. Attends : je vais la prendre... Tiens ! C'est drôle. Elle n'est plus là...

– Non, parce qu'elle est ici. La voilà.

– Ah ! Merci.

– Non mais... Est-ce que tu te rends compte qu'il y a dedans près de septante mille francs et que je l'ai trouvée sur une chaise ? N'importe qui aurait pu prendre l'argent... Tu es dingue ou quoi ?

– Allez, allez ! Faut pas t'énerver comme ça ! Personne n'aurait pu prendre l'argent, voyons.

– Ah non ? Et pourquoi ?

Et dans un grand sourire satisfait et confiant, Zorbec prend dans sa poche un petit objet qu'il me met sous le nez en déclarant :

– C'est moi qui ai la clé !

 

Tiré de Cœur de Rock/Edition Apach/ pages 130 à 135

 

 

 

 

 

 

LES KINKS AU THEÂTRE 140

16 et 17 FÉVRIER 1968

Les Kinks dans la cour du Théâtre 140 © jHdg

 

 

Séance d'autographes à la sortie du 140 © jHdg

 

Jean Jième : Plus tard, ils sont revenus en Belgique en février 1968 pour jouer dans une salle de spectacle nettement plus cozy que la salle Regina à savoir le Théâtre 140, avenue Plasky à Schaerbeek.

 

Je décide de les prendre en photo tous les quatre. On m'informe qu'après leur prestation au Théâtre 140 ils iront prendre un verre au Black and White où ils ont été invités.

 

 

 

Ray Davies Theatre 140

Ray Davies © jean jieme

 

Dave Davies Theatre 140

Dave Davies © jean jieme

Peter Quaife Theatre 140

Peter Quaife © jean jieme

Mike Avory Theatre 140

Mike Avory © jean jieme

 

 

Lorsque les quatre musiciens débarquent, ils n'ont pas l'air de très bonne humeur. Ils me regardent du coin de l'oeil. Visiblement ils n'ont aucune envie d'être dérangés. Je travaille au flash ce qui fait que je ne passe pas inaperçu.

 

Je parviens à me planter en face de Mick Avory, le batteur et je lui tire le portrait. Je braque l'objectif sur Peter Quaife, son voisin et re-belotte. Par contre j'aurai plus de mal à coincer les frères Davies.

 

 

Ceux-ci cherchent à échapper à ma traque. Finalement, je parviens à les croquer tous les quatre, non sans avoir senti de la part de Ray un certain agacement.

 

Pour l'anecdote, l'ami Erik Machielsen m'a rapporté qu'à l'époque il les avait également pris en photos dans le bistro/resto attenant au Théâtre 140 et que le quatuor avait posé pour son objectif avec le sourire. Comme quoi de toute évidence, deux heures plus tard, ils voulaient qu'on leur fiche la paix.

 

Kinks Belgique 1966

Ce soir-là j'ai appelé les Shakespeares pour qu'ils viennent me rejoindre dans le Club. Les deux groupes ont ainsi fait connaissance. A gauche : Alan Escombe, Chris Stone, Peter Quaife. En dessous : Dave et Ray Davies.

 

 

Kinks Belgique

 

 

Extrait d'une émission « Vibrato » : le groupe de rock anglais The Kinks est filmé dans un parc bruxellois enneigé et chante Sunny Afternoon , l'une des plus belles mélodies des Sixties, composée par leur chanteur Ray Davies. Magique !

 

Vibrato était consacrée à la musique pop et destinée à la jeunesse, calquée sur les shows de la télévision anglaise.

http://blog.sonuma.be/the-kinks/

 

 

 

Dossier achevé le 17 octobre 2009